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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 21:33

L'auteur :


Achref SNOUSSI est un être humain qui a connu précocement les brusques contrastes des sentiments. Après avoir écrit « La braise d’amour et de la vengeance », premier roman autobiographique, il renouvelle l’expérience et réarrange le puzzle pour recréer l’image originale de ses réminiscences dans un deuxième roman intitulé
« Le brandon de la passion ». Humaniste et idéaliste, il a décelé les injustices de la vie et a compris que l’ère actuelle ne nous offre que des scènes du malheur, un diable noir qui a envahi tous les recoins habitables de la terre. Dans cette perspective défaitiste, l’auteur a fait une autoévaluation dans un mouvement introspectif remontant jusqu’au berceau d’une tendre enfance, passant par le frémissement d’une adolescence en verdure, et finissant par un ternissement psychologique âpre au commencement de sa maturation. A travers des pages bondissantes, l’auteur revivifie les histoires anciennes, les évènements majeurs de sa vie et toutes les choses qui ont bousculé sa quiétude au fil des années. Les blessures rouvertes, les égratignures à jamais soignées, et les chocs émotionnels éternellement gravés, enchevêtrés avec une brise parfumée soufflant sur des moments doucereux, ont tous chatoyé les souvenirs ainsi que des cristaux de diamant. L’entourage a été décisif dans l’élaboration de la personnalité de l’auteur. La famille et l’environnement dans lequel il a vu le jour ont influencé le cours de l’histoire. L’empreinte de la vie scolaire, siège de la majorité des activités enfantines, est également indélébile. Le côté affectif, suffisamment prononcé dans ce texte, reflète le double aspect de l’amour chaste ; une rose éthérée qui captive par la splendeur de ses pétales et qui fait saigner au toucher par sa tige urticante.

L'ouvrage :


Quand l’amour, le sentiment le plus noble évoqué dans tous les arts terrestres, se réduit à sa dimension juvénile, et lorsqu’il commence à palpiter les cœurs innocents dès l’aurore de la vie, il dépeint sa valeur inestimable d’une exhalation éthérée. L’auteur divulgue ici son expérience personnelle quand la passion a remué son cœur à plusieurs reprises désespérées et quand le flot des émotions débordantes s’est éclaté dans son cœur pour jaillir dans les pages d’un passé fugitif. Balloté entre les déchirures et le rêve, il se trouve trahi par sa langue qui n’a pas trouvé l’essor à l’expression. Néanmoins, son élan frénétique lui a tendu la main pour l’aider à écrire en survolant, loin de tous les désirs charnels qui ont souillé la terre, dans l’Elysée de tout ce qui est pur et angélique. Dans cette tentative de détresse, il met en lumière la tension entre souffrance et bonheur qui l’a accaparé depuis sa tendre enfance jusqu’au goût du jour. Ecartelé entre le rêve et la réalité, il s’exprime et revendique, d’une voix plaignante et saccadée, une passion inconcevable mais vraie.

 

Liens :

 

Ebook *LE BRANDON DE LA PASSION* Achref SNOUSSI 2010 LuLu


ou

 

Ebook *LE BRANDON DE LA PASSION* Achref SNOUSSI 2010 Edition 999

 

 

Bonne lecture !

 

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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 19:38

Enfin, la présentation animée du roman avec la mise en relief de ses objectifs ainsi que les raisons de son existence, les circonstances qui ont poussé l'auteur à révéler ce qu'il a révélé.


Cliquez ici pour voir cette vidéo


Bonne lecture !

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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 23:25

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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 17:13

La braise d'amour et de la vengeance, un titre inspiré d'un film indien, où l'amour reflète la vie, la vengeance miroite la mort, et entre ces deux, la braise des déchirures brûle.

Un tel livre traite divers sujets qui préoccupent l'Homme ainsi que l'autobiographie a pris son chemin entre les arguments cernant l'existentialisme, la philanthropie, et la quête de la félicité dérobée dans les entrailles d'un monde injuste, inéquitable, déloyal et pour couronner tout, un monde satanique...

 

 

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 19:08
Jusqu’à ce jour là, l’écriture n’était pas omniprésente dans ma tête. J’avais des études, et entre les études des petits boulots à remplir les temps creux et à me procurer des petites sommes rondelettes. Je travaillais de la belle aube jusqu’à la triste soirée, rentrant chez-moi accablé, dévoré par la fatigue, m’affalant sur le lit pour me coucher jusqu’au lendemain, souvent sans diner. J’avais marre de cette vie esclavagiste, jetant continuellement un regard serein sur l’horizon, fouillant quelque part un futur rose quand la rosée d’une nouvelle aurore se dressera sur ma vie obscure. Et un jour, j’ai pensé à écrire, non pas un livre, mais quelques mémoires qui ont déjà fait l’empreinte dans mon parcours dans la vie. Ayant tâté mon émotion turbulente, des évènements et des actes de mon entourage m’ont fait dépasser la crainte de la page blanche et ont fixé la plume entre mes doigts arborant les idées hargnes qui me fermentaient le cerveau. J’ai entamé l’écriture d’une œuvre particulière, succincte et distincte, globale et spéciale, ouvrant des perspectives sur les complications de la vie contemporaine, en alternant le malheur et le bonheur qui ont accompagné l’Homme depuis l’antiquité. Une philosophie originelle soulignait ce qu’un être humain a pu constater lorsqu’il a lancé cette œillade brusque sur ses vingt-deux ans encore. Jusqu’à ce moment, l’écriture était un plaisir qui substitue les maux et les souffrances par les mots et les sentences. Lorsque le texte intégral était tapé, il était confus comme un puzzle, sous forme de quelques chapitres séparés. Alors, un réarrangement méthodique a été nécessaire pour qu’une démarche dialectique prenne son essor. Lorsque je me suis arrêté sur l’œuvre entière, j’ai vu la lumière dans ce que j’ai écrit et, à cet instant là, j’ai pensé à élargir les visées et partager les émotions avec le public. C’était La braise d’amour et de la vengeance, un premier roman difficile à classer en un seul genre qu’on peut lui attribuer les caractères autobiographique et philosophique.  Et c’était mon premier livre qui a fait apparition dans les librairies.


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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 11:23

Comme je n'étais pas un grand lecteur pendant mon enfance, le rêve d'écrire était vague dans les horizons de ma pensée optimiste. Les premiers essais paraissent précocement vers l'âge de quinze ans quand le beau texte des poèmes m'a fasciné l'esprit et m'a poussé à créer mes propres poèmes. J'en ai réussi trois avec tant de hardiesse et n'étaient guère mauvaises comme premier jet. Je me rappelle d'une que j'ai abordé le soir à partir de vingt heures et je ne me suis débarrassé de la plume que vers quatre heures du lendemain, huit heures consécutives sans cesse. J'ai voulu continuer dans l'affût de cette charmante aventure, mais vu l'effort absorbant qu'elle exige et les autres rêves qui dominent ma tête, j'ai cessé l'écriture des poèmes pour traverser ma vie dans le chemin des études auxquels j'ai accroché tant d'espoir et d'ambition.
L'année de mon baccalauréat, le rêve s'est réveillé et a tournoyé de nouveau autour de ma raison, vêtu d'un autre drap, jetant dans mes convoitises un nouvel enjeu. L'écriture scientifique était l'objectif de ce rêve qui a fait vite de s'éparpiller dans le vent puisque j'ai cru avoir des ressources et, en fait, j'étais dépouillé des ressources.
J'ai réussi mon bac certes, mais je suis resté le bec dans l'eau avalant l'amertume jaillissant des brandons des rêves incendiés...  

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